La conclusion d'assurances vie d'épargne se justifie en outre pour d'autres raisons : non imposition du rendement du capital, limitation de l'impôt sur la fortune à la valeur de rachat, rendement souvent supérieur à un compte d'épargne, déduction fiscale (même faible) à Genève et à Fribourg, etc.Maidec a écrit :Une assurance risque pur, qu'elle soit liée ou non à de l'épargne, devrait être conclue pour permettre au survivant de garder la maison. C'est à dire que le montant et/ou la durée devraient être calculés de manière que les revenus du survivant (salaire + rente AVS + rente orphelin, le cas échéant) soient dans les 33%, donc que le montant permette un amortissement suffisant. Bien sûr, si les revenus du survivant permettent sans autre de continuer de payer la maison (et qu'il y a une volonté de le faire), il n'y a pas besoin d'assurer le risque pur. À mon avis. En tout cas, c'est ce que je ferai si je n'avais pas conclu un 3A assurance avant de construire.
Le but de l'assurance-vie est d'obtenir la couverture d'un risque, voire la restitution des fonds à l'échéance du contrat en cas de non réalisation du risque. En cours de route, il ne faut pas tenir compte de la valeur de rachat (sauf si on s'en sert comme nantissement, évidemment).epidorhappy a écrit :bonjour,
Nous venons aussi d'acheter et il a été clair dès le début que l'assurance-vie lié à de l'épargne te rapporte genre des clopinettes, nous avons chacun un 3a qui nous permet simplement les déductions fiscales et un petit bas de laine au cas ou..par contre pour le risque décès, il me semble que c'est bien plus simple et meilleur marché de prendre un assurance risque pur sur deux têtes, notre exemple : assurance 250'000.-- prime 1000.-- par année.
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