Franchise RC???

[Cassiopée]

Bonsoir,

Nous avons reçu une offre de La Mobilière (pour ne pas les citer)... et il y a une franchise de 10% en cas de dommages, au minimum 10'000 et au maximum 50'000.-

Ca nous semble énorme!
Donc, juste pour broyer du noir, si notre maison brûle entièrement et qu'on perd tout, on doit en plus sortir 50'000.- de notre poche?
Et ça s'appelle une assurance???

Je trouve assez incroyable...

Est-ce qu'il existe d'autres solutions?

[classic25]

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[sherpa]

Bonjour Cassiopée, Classic a raison, en cas d'incendie, c'est l'ECA qui paie et il n'y a pas de franchise, par contre tu dois faire attention à ne pas être sous-assurée.

Malgré tout, je trouve qu'une franchise de 10.000 francs en cas de dégât est juste énooooooooorme ... Bon dimanche sous le soleil du Valais!

[schmuks]

Pour nous 5000.- et je trouve déjà élevé

[classic25]

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[Cassiopée]

Nous construisons en Valais, et en Valais il n'y a pas l'ECA. C'est que sur Vaud (je crois).
La prime s'élève à... heu... il faut que je retrouve l'offre et je vous redis...

[Cassiopée]

J'ai retrouvé ça:

Pour votre information, depuis deux semaines la Mobilière propose d’assurer également les tremblements de terre. Pour votre construction, il faut compter un supplément de prime de Fr. 350.- par année (franchise 10% du dommage, minimum Fr. 20'000.- / maximum Fr. 50'000.-).

Pour répondre à votre soucis de franchise en cas de tremblement de terre, on peut trouver, auprès de la Leuz, des franchises plus réduites à savoir 2% du dommage, minimum 10'000.-. Cependant, le tarif n’est plus le même. Pour votre bâtiment, cette assurance coûterait Fr. 524.- avec la franchise de 2%, soit Fr. 12'000.-. Ces franchises sont également appliquées uniformément par toutes les assurances et, à ma connaissance, il n’existe pas d’autres alternatives.

Pour revenir sur mon offre « Bâtiment » (incendie, dégâts de la nature, dégâts des eaux), je vous rappelle que la prime est gratuite pendant la durée des travaux. La franchise de base est de Fr. 200.- pour les risques incendie et dégâts des eaux et de 10% pour les dommages naturels, minimum Fr. 1'000.- mais au maximum Fr. 10'000.-. Cette franchise « Dommages naturels » est également appliquée uniformément par toutes les Compagnies d’assurance et ne peut être réduite même en payant une surprime.

Donc en fait c'est moi qui avait confondu avec l'assurance incendie...
Pour les dégâts naturels on n'a "que" 10% de franchise mais au max 10'000.-
C'est déjà mieux!
Ca vous parait correct?

[Invité]

Comme ils écrivent "Cette franchise « Dommages naturels » est également appliquée uniformément par toutes les Compagnies d’assurance et ne peut être réduite même en payant une surprime", je pense qu'il ne peut y avoir de "meilleure" offre au niveau de la franchise. L'ECA prend en charge les dégâts naturels avec une franchise de 200.- par cas (si mes souvenirs sont bons). Faut voir ce que la Mobilière assure en plus de l'ECA. Quand au risque tremblement de terre, 350.- par année, faut voir quel est le risque sismique de ta région. S'il est quasiment inexistant, je pense que ça ne sert à rien. Sauf pour te rassurer. Et s'il est très faible, tu n'auras pratiquement jamais à payer la franchise.

[Cassiopée]

Merci Jérôme!

[Zeedap]

Comme ils écrivent "Cette franchise « Dommages naturels » est également appliquée uniformément par toutes les Compagnies d’assurance et ne peut être réduite même en payant une surprime", je pense qu'il ne peut y avoir de "meilleure" offre au niveau de la franchise.

Oui c'est juste car il y a un pool pour les dommages naturels (une communauté d'assureur) où tous les assureurs privé versent les primes encaissées et le conditions sont donc dictée par ce pool et par conséquent les mêmes pour tous les assureurs.


Et pour revenir sur un point plus haut les ECA c'est différent pour chaque canton. En valais et à Genève par d'ECA du tout c'est les assureurs privés qui assurent bâtiments et contenu, sur Vaud l'ECA assure le mobilier comme le bâtiment et sur Fribourg l'ECA pour les bâtiments et les privés pour le mobiliers ... les joies du fédéralisme