Salut,
Maidec a écrit :J'abonde dans le sens de roy1360 à propos du mauvais usage du tirage sur les poêle à bûches. J'ai commis cette erreur au début, à savoir fermer à 80%-90% les entrées d'air après que le feu soit bien parti.
J'ai moi aussi fait tout faux, et pendant 17 ans en plus !! Chauffant alors au mazout, j'étais tout fier d'utiliser mon insert, pensant faire un geste "écolo" pour la planéte. Sans le savoir, je brûlais du mauvais bois, et en plus je le brûlais mal. La vitre de mon insert était totalement noire au bout de seulement trois feux. Sans le savoir, et pire en pensant faire bien, je polluais beaucoup plus avec mon insert à bûches mal utilisé qu'avec ma chaudière à mazout.
Depuis que j'ai appris à utiliser du bon bois, et à gérer les tirages correctement, avec des feux vifs et allumage en top down, je ne nettoie ma vitre plus qu'une fois par année, et je profite vraiment de l'énergie disponible dans la bûche (même si j'utilise beaucoup moins mon insert depuis que j'ai ma chaudière à pellets).
Maidec a écrit :...les chaudières à bûches sont sources d'ennui à cause de la fluctuation de la qualité du combustible, tant au niveau des essences, du séchage et de la taille irrégulière des bûches. Lorsque j'avais fait part de mon regret de n'avoir pas mis une chaudière à bûches, le collègue m'a dit qu'il ne fallait surtout pas le regretter.
Exact.
Même la meilleure des chaudières à bûches moderne et performante aura un mauvais rendement avec du mauvais bois, y a pas de miracle.
De plus, une installation "bûche" coutera au moins aussi chère qu'une "pellets" (et même bien plus lors de mes devis), et il y aura la corvée du bois et le prix du kWh qui sera plus élevé que celui du pellet dans le cas d'un achat de bois (théoriquement) sec, fendu, scié et livré.
A+